Le mont Blanc
Le tourisme de masse est très présent au Mont Blanc. Plus de 30 000 personnes y font l’ascension chaque année. Des dégâts sont flagrants comme la diminution du glacier à vitesse grand V. L’accès au Mont Blanc va donc être régulé. Pas plus de 300 personnes par jour pourront gravir jusqu’au sommet avec une autorisation. Le président Emmanuel Macron souhaite aussi mettre en place une aire protégée afin de conserver la faune et la flore du lieu.
La grotte de Lascaux
La grotte de Lascaux est un des sites les plus visités en France. Mais celle que l’on peut visiter aujourd’hui est en réalité une réplique. La véritable grotte n’est plus accessible au public depuis 1960. Elle a été fermée à cause des touristes. La grotte a été abîmée à cause du CO2 expiré par les visiteurs. La mise en place de structure pour rendre le site actif comme la mise en place d’escaliers, de rampes… a aussi fragilisé la structure. Depuis, des champignons et des algues envahissent les parois. La conservation des peintures est toujours un problème aujourd’hui.
La falaise d’Étretat
Chaque année plus d’un million de touristes se rendent à Étretat pour voir les somptueuses falaises. Mais ces dernières sont de plus en plus altérées par le tourisme. Le piétinement des touristes détruisent la végétation et provoque l’érosion des sols. L’enjeu majeur maintenant pour ce site est d’être renaturaliser.
Le parc national des Calanques à Marseille
À cause de la surfréquentation, le parc national des Calanques à Marseille a imposé des créneaux de réservation obligatoires pour les touristes. La mise en place d’une jauge de 400-500 personnes par jour a pour but de conserver ces endroits. Le site est fragilisé à cause d’une érosion des sols due au passage de plusieurs milliers de visiteurs quotidiens en été.
Venise
Pour terminer, une destination à l’étranger. À Venise, le tourisme de masse est très présent. Les habitants ont tiré la sonnette d’alarme. Ils souhaitent interdire le passage des paquebots sur le grand canal et les petites barques à moteur dans les canaux secondaires. En effet, les problèmes sont les remous qu’ils génèrent. Ils fragilisent les fondations. La ville s’enfonce d’un millimètre par an.