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 Un RoadTrip en Nouvelle-Zélande : de l’achat à la vente d’un van

Un RoadTrip en Nouvelle-Zélande : de l’achat à la vente d’un van

Voilà 3 ans que l’on a quitté la France pour vivre une vie d’aventure, de voyages et d’émotions. Après les États-Unis, le Canada et l’Australie, on arrive en Nouvelle-Zélande pour acheter notre nouveau van et réaliser ce 3ème Road Trip.

On ne vous cache pas qu’arriver en plein janvier à Auckland dans le but d’acheter un van n’a pas été une super bonne idée, financièrement. Mais l’été est là, et il ne dure pas longtemps ici.

Nous avons passé les fêtes de fin d’année à Sydney en Australie, avons revendu notre chère Jozy australienne le 1er janvier, et on s’est posés beaucoup de questions. Que faire maintenant ? Nous avions plusieurs options, nous avons opté pour se presser à Auckland en NZ et commencer le Road Trip néo-zélandais le plus rapidement pour profiter de l’été.

Peut-être aurions-nous dû envisager cela autrement ? S’arrêter quelque part vers Sydney, pour travailler ou faire du HelpX, puis continuer de renflouer les caisses à Auckland avant de faire ce Road Trip le printemps/été suivant ? C’est toujours après que l’on se rend compte des meilleures options, quand on connait mieux le pays, les distances, les saisons, les climats des différentes régions…

Arrivée à Auckland 

Nous arrivons à Auckland le 2 janvier et commençons les recherches de notre futur van. Le marché du van bat son plein, c’est la saison où les prix sont élevés, où aucune négociation n’est possible, car il y a très peu de vans en vente contre beaucoup trop de futurs voyageurs. Pas besoin de faire un Master en Marketing pour comprendre le système de l’offre et de la demande, il suffit de passer 1 an en Nouvelle-Zélande.

Après avoir vendu un rein au marché noir, on s’en va avec notre nouveau van Mārama sur les routes néo-zélandaises, à la découverte de ce pays si lointain de la France, de cette culture et ces traditions si différentes de la nôtre, et cette nature si incroyable qu’elle a à offrir.

Mais vous vous demandez probablement comment est la vie d’un backpacker ? J’ai envie de vous dire : « très simple, tout le monde le fait ». Il suffit de s’organiser un brin et de se laisser bercer par ce vent de liberté qui vous emporte. Vous ne travaillez pas, vous profitez de chaque journée comme elle vient, vous mangez, vous randonnez, vous postez vos plus belles photos sur vos réseaux sociaux… Beaucoup dirait « la belle vie quoi ! ».

Notre vie de backpacker

Mais ce n’est pas que ça ! En tant que backpacker, on a d’autres problèmes, quotidiens ou occasionnels. On n’est pas à l’abri d’une panne mécanique, d’une crevaison ou d’un accident sur la route. Sans penser à ça, on doit quotidiennement calculer notre itinéraire, la météo, les freecamps, l’eau potable, les douches, les niveaux des batteries… Ici, en Nouvelle-Zélande, la plupart des véhicules sont Self-Contained, c’est-à-dire autonomes pour 3 jours au moins, et vous permettent de dormir quasiment partout.

Road trip en nouvelle zélande

Pour obtenir cette certification, votre van doit posséder une toilette chimique, une petite poubelle et deux bidons de 25 litres. Donc régulièrement, il faut aussi penser à vider les eaux usées dans les stations de vidange à disposition des voyageurs.

Il y a aussi une différence entre un Road Trip en été et en hiver. Les conditions de route peuvent être différentes mais c’est surtout plus difficile de rencontrer d’autres voyageurs sur son chemin. Il fait plus froid donc on ne sort plus les tables et chaises dehors pour prendre l’apéro et discuter entre vans.

Chacun reste chez soi. Puis les journées sont plus courtes en hiver, il y a donc moins de temps pour faire des randonnées. La nuit arrivant vers 17h, il y a aussi besoin de plus de lumière, ce qui demande une meilleure gestion quand on n’a pas d’électricité. Il y a moins de voyageurs en hiver, donc les freecamp sont plus vides, et certains sont même fermés jusqu’au printemps.

Bon par contre, vivre dans le van est très économique donc si vous travaillez, vous mettrez plus rapidement de l’argent de côté. Et cela permet également d’être très flexible sur le marché du travail, offrant la possibilité de se déplacer là où il y a du travail.

Bref, la vie en van est quand même exceptionnelle, que l’on aime ou non, ce moment où l’on se retrouve sur la route, à ne plus rien penser qu’à soi-même, de profiter de chaque instant comme si c’était le dernier, ça n’a pas de prix !

Article écrit par notre ambassadeur WAKE UP AND TRAVEL 

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