Quelques brefs rappels historiques concernant la Nouvelle-Zélande.
La Nouvelle-Zélande fut l’un des dernier à être découvert par l’homme. C’est entre le XIIème et le XIIème siècle que les Maoris furent les premiers à y poser le pied.
Autre événement marquant : la signature du traité de Waitingi qui fait de la Nouvelle-Zélande une colonie Britannique en 1840 , environ deux cents ans après que les premiers Européens découvrent ce pays.
Peu de temps après, en 1907, la Nouvelle-Zélande devient un dominion britannique avant d’enfin parvenir à sa complète souveraineté en 1947.
Qu’en est-il d’aujourd’hui ?
Aujourd’hui l’empreinte des colons anglais – et plus largement européen- ainsi que des Maoris est plus que marquante. Selon les données officielles publiées par le gouvernement Néo-Zélandais , sur une population de 4,5 millions d’habitants , on recense 67,6 % d’Européens Néozélandais et 14,6% de Maoris. Pour plus d’informations à ce sujet : cliquez-ici
Cependant une importante partie de la population résidant en Nouvelle-Zélande est aussi issue d’une immigration plus récente. C’est aujourd’hui l’immigration Asiatique qui domine largement le classement avec presque 10% d’immigrés présents sur le sol Néo-Zélandais. En témoigne la capitale économique, Auckland , et l’architecture de son centre qui se rapproche beaucoup de villes asiatiques comme Shanghai.
Il faut tout de même prendre ces informations avec un certain recul , car Auckland est aujourd’hui le reflet d’une ville mondialisée qui abrite une forte immigration, ce qui n’est pas le cas des autres espaces Néo-Zélandais. La quasi totalité de la communauté Asiatique Néozélandaise est par exemple regroupée à Auckland. A l’inverse une partie de la communauté Maori se trouvent encore dans des espaces plus ruraux , comme à Napier ou à Hawkes Bays qui sont les lieux d’origines des Maoris. Un article sera d’ailleurs consacré bien plus en détails à la culture Maori, quand nous aurons l’occasion de partir visiter ces lieux.
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